Mar. 2006 (Updated 2012)
When Studies and Love interfere
(The following article was published at togoforum.com, no longer available there):
Two African schoolgirls from class 6e of CEG Hedzranawoé got into a bloody fight because of a boy. As reported in the newspaper this
happened one week ago. According to our correspondent a (girl)pupil of the CEG(school) Hedzranawoé (quarter of Lomé, Togo)
surprised her classmate with her boyfriend within their common appartment. Deeply offended she dragged the other girl outside and slapped
her face. She replied with a punch. At this moment the boy tried to separate them. But this was wasted effort.The two girls were involved
into an indecible hot-headed fight using their teeth, fingernails and everything more which might hurt the other. It needed the intervention
of other people of the house to calm down the two rivals. They separated in an atrocious shape: torn out hair and their bodies covered with
wounds. As our correspondent reported, the two girls were spanked the following day at the flag mast by order of the headmaster, who had
got notice of the incident. The newspaper condemns the behaviour ofthose two girls, which proves that today the pupils are more occupied by
love affairs than by studies. "Not bad, the comradeship; but studies have to come first", judges our correspondent, advising the children
and demanding, they should restrain and wait for the right moment, even if sometimes the sexuel desire predominates.
Comment by oldtapir:
Well done, headmaster! Some years ago I also experienced a similar incident at the Grand Market of Lomé. I had bought some stuff from
a girl at 500 CFA and paid with a 1000 CFA note. As the girl was searching for the change, a second girl suddenly snatched the 1000 CFA and
tried to escape. The two girls started fighting and when I tried to separate them I also got some scratches from their fingernails.
Finally a man took a stick and hit the girls until they separated. I suppose, the two girls (and espacially the thief) had merited a good
spanking for their bad behaviour. Unfortunately there was no headmaster, because those blows with the stick are never as remarkable as a
real good spanking!
It is very common that in Africa disputes start to be carried out in loud shouting, and the opponents don't hesitate to start a real
corporal fight. As Africans generally speak loud and their native language may sound somewhat agressive for us, it is not easy to distinguish
between a vivid conversation or an upcoming quarrel. But when they start to get violent, everything is clear. There is no difference about
people involved. Men, women, children: everybody may fight against everyone. Especially women do not hold back and may fight very intensely
even against men, whereas children (see introducing article) are always at the receiving end. Many african stage plays or films reflect
these quarrels in daily life. I extracted the following short videoclips from a congolaise comedy play ("Famille Mabe") to present you an
example. As they are in native language, I am not able to tell you the reason of these quarrels, may be, it's just out of a trifling matter.
But the fight and the blows are very well performed and don't look staged. (Unfortunately the source
provided only poor quality, so you are not advised to enlarge them.)
Internal Links to related reports:
That's Africa
More African Catfighting
Corporal Punishment of Pupils in Togo
La violence à l'école
Schoolgirl punished
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Quand étude et amour se bousculent
Le rapport suivant était trouvé à togoforum.com (maintenant abandonné)
Deux fillettes de la classe de 6e au CEG Hedzranawoé se battent jusqu'au sang à cause d'un garçonnet. Cela s'est
passé, nous dit le journal, la semaine dernière. Selon notre confrère, une élève du CEG Hedzranawoé
a surpris chez son copain, une camarade du même établissement. Vexée, elle traîna dehors sa camarade et lui
assena une paire de gifles. L'autre répliqua par un coup de poings. En ce moment, le garçon intervient pour les séparer.
Mais c'était peine perdue. Les deux filles se sont jetées dans une échauffourée indicible où intervinrent
dents, ongles, bref tout ce qui pouvait servir à blesser l'autre. Il a fallu l'intervention des gens de la maison pour que les deux
rivales soient calmées. Elles s'en sont sorties très méconnaissables, les cheveux défaits, le corps couvert de
blessure rapporte t-il. Selon le confrère, les deux fillettes furent le lendemain fessées au mât sur ordre du directeur
qui avait été mis au courant de l'affaire. Le journal condamne le comportement de ces deux filles qui vient confirmer
aujourd'hui que les élèves sont plus préoccupés par l'amour que par les études. "Le copinage, pas mal;
mais les études d'abord", estime le confrère qui, en conseil, demande aux enfants de se maîtriser et attendre le moment
propice, même si le désir sexuel domine quelque fois.
Commentaire d'oldtapir: Bienfait Mr. le Directeur! Quelques années avant j'ai aussi vécu un incident
comme-ça au grandmarché du Lomé, Togo. J'avais acheté chez une fillette quelque petite chose à 500 CFA
et payé avec un billet du 1000 CFA. La fillette était a chercher 500 CFA pour rembourser, quand une autre filette prit
les 1000 francs et était en trein d'échapper. Les deux fillettes commencent a lutter et quand j'aiessayé les
séparer je suis été même graté par leurs ongles. Enfin un monsieur prit un bâton et donnait
quelques coups aux fillettes et ils se séparent.Je pense les duex filles (surtout la voleuse) ont mérité une bonne
fessée pour leur mauvais comportement. Malheureusement il manquait un directeur, car les coups avec le bâton sont jamais si
remarcables comme une bonne fessée!
Il est très commun qu'en Afrique des conflits commencent à être effectués en criant fort, et les adversaires
n'hésitent pas à commencer une vraie combat corporelle. Pendant que les Africains parlent généralement fort
et leur langue maternelle peut sembler quelque peu agressive pour nous, il n'est pas facile de distinguer une conversation vive ou une
querelle prochaine. Mais quand elles commencent à devenir violentes, tout est clair. Il n'y a aucune différence au sujet
des personnes impliquées. Hommes, femmes, enfants: tout le monde peut lutter contre chacun. Particulièrement les femmes ne
font pas obstacle et peuvent lutter très intensément même contre les hommes, tandis que les enfants (voyez l'article
initial en haut) sont toujours au mauvais côté. Beaucoup des pièces de théâtre ou de films africains
reflètent ces querelles dans la vie quotidienne. J'ai extrait les clips vidéo courts suivants à partir d'une
comédie du Congo ("Famille Mabe") pour vous présenter un exemple. Car ils sont dans la langue maternelle, je ne peux pas
vous dire que la raison de ces querelles, peut être, il est juste à cause d'une affaire futile. Mais le combat et les coups
sont très bien exécutés et semblent bien véritables.
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